Sur un calendrier, les jours
Rétrécissent et se rapprochent
Comme les étages d'une tour
Et même si on s'accroche,
Même en cherchant un détour,
On ne peut tromper cette satanée cloche.
Avec une nouvelle pierre de soie,
Il faut effacer un autre mur,
Sur un nouveau galet de bois,
Reprendre l'écriture.
Jusqu'à ce qu'un prochain carillon
Qui chante et qui murmure
Nous pousse encore vers d'autres saisons.
samedi 27 juin 2009
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Je l'aime bien!
RépondreSupprimerEt sinon, je sais d'une source très secrète que Nath a des vieux trésors cachés à Marseille dans un coffre de pirates. Serait-ce le moment de la demander quelques petites perles ?
Clairement! On pourra piller le coffre pendant le barbecue que je risque d'organiser!
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup aussi. Fabito tu peux m'ajouter comme spammeur s'il te plait?
Bisous,
Thomas.